Ivy Years

Je vous laisse, avec une dernière recommandation : la série Ivy Years de Sarina Bowen. Dans l’ordre :
The year we fell down
The year we hid away
Blonde date
The understatement of the year
The shameless hour
The fifteenth minute


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Sarina Bowen, c’est un NA, des joueurs de hockey, des universités américaines (enfin une surtout, Harkness), dans le Connecticut ou le Massachusetts je ne sais plus, un campus arboré et des résidences étudiantes dans des bâtiments anciens.

C’est aussi une grande finesse dans la manière de présenter ses personnes et des héros qui ne tombent pas directement dans les clichés trop faciles du jeune de 20 et quelques années plein d’angoisses existentielles.

Et enfin, c’est, de manière assez surprenante, une auteur qui ne se limite pas à un type de problème. Elle parle de handicap, d’homosexualité, d’abandon parental, d’agression sexuelle, de célébrité, de hacking et du pouvoir de la toile, des premiers amours, le tout avec une normalité étonnante et réussie.

En bref, c’est une super série à vous mettre entre les mains !

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Managed (VIP 2)

Les amis, j’ai lu un livre et je lui ai donné 5 étoiles sur Goodreads.

Est-il besoin d’en dire plus ?

Bon allez, c’est le début de l’année, nous ne vous avons pas souhaité un joyeux Noël, et encore moins la bonne année, je me suis dit qu’il fallait que je vous fasse un petit cadeau pour me faire pardonner et vous dire que malgré tout, nous ne vous oublions pas (du coup je publie un mercredi après-midi, où vas le monde je vous le demande?).

C’est un peu triste d’avoir du arrêter par manque de temps, mais j’espère que quelques lecteurs trainent encore par ici (un accident est si vite arrivé) et que vous serez contents de voir que ce n’est pas encore tout à fait mort.

Alors déjà, BONNE ANNÉE à tous, avec tous les vœux de rigueur! 🙂

Et ensuite, parlons livre : j’ai mis 5 étoiles à Managed de Kristen Callihan, tome 2 de sa série VIP (le tome 1, Idol, a été chroniqué ici par Charlotte).

Et après Idol (avis mitigé pour moi), j’ai lu le tome 2. Lu, que dis-je ? Je l’ai dévoré.

C’est l’histoire de Gabriel (dit Scottie – surnom qui soit dit en passant ne lui va pas du tout, les geeks comprendront), le manager du plus grand groupe de rock du monde (non, pas U2, l’autre). Gabriel qui est un ultra-méga beau gosse qui laisse dans son sillage des cœurs brisés et des larmes de désespoir, juste par la force de son magnétisme et de son aura mystérieuse. Gabriel (vraiment, tout le monde l’appelle Scottie mais moi je ne peux pas) qui cache derrière cette sublime façade des secrets et des tourments que toute héroïne normalement constituée ne peut que vouloir découvrir. Sinon il n’y a pas d’histoire, vous comprenez bien…

Notre héroïne, c’est donc Sophie, photographe (ancienne paparazzo/i/a – pas certaine de la bonne terminaison), et un humour de dingue. Quelques valises à trainer mais pas trop non plus.

Et ce livre, cette histoire, c’est surtout ça : mettez Sophie et Gabriel ensemble, secouez bien (genre dans un avion, ou dans une rue sous la pluie), et ça fait des étincelles. C’est drôle, avec des dialogues bien écrits, pétillants, qui m’ont fait éclater de rire à plus d’une reprise (et ce n’est pas une figure de style, je veux dire le vrai éclat de rire où l’auteur réussit à vous surprendre et du coup vos voisins de métro eux aussi sont surpris, parce que je n’ai pas le rire le plus discret du monde).

C’est très très sexy aussi, avec une réelle montée en puissance de la tension entre les deux, des moments clés où leur alchimie donne le frisson et entre les deux, le développement d’une relation de confiance et de compréhension mutuelle.

J’ai très vaguement hésité à ne donner que 4 étoiles à ce livre, car le fond de l’histoire, bien que tout à fait convaincant, n’est pas renversant non plus. Le truc classique du héros à problème réparé par l’amour de l’héroïne (je ne vous dirai rien de plus, autant garder le suspens). Mais après tout non. Je n’ai rien à reprocher à ce livre, j’admets que c’est cliché mais c’est un cliché rondement mené, efficace et qui sait se faire oublier. Et puis tout ce qui pouvait être reproché au tome 1, sur la lenteur ou l’absence de communication, a disparu…

Je l’ai lu d’une traite, j’ai ri (je vous jure ce n’est pas si facile), j’ai frissonné, j’ai soupiré d’aise à la fin et franchement, que demander de plus ?

Un Gabriel en chair et en os au pied du sapin l’an prochain ?

Je suis sure que cela peut se négocier, j’ai 11 mois pour trouver le fabricant…

Mais d’ici là, précipitez-vous pour lire Managed (je crois qu’un tome 3 est prévu, je suis sur l’affaire et je vous tiens au courant).

Bonne lecture,

Chi-Chi

Duke of Pleasure – Maiden Lane #11

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Vous ne rêvez pas!!!  J’ai lu un livre!!!

Genre même qu’en vrai, j’en ai lu 2 (le dernier Hoyt ET le dernier MacLean). Mais je me suis laissée débordée par le temps après ma lecture du dernier opus de Sarah, et du coup, c’est un chouilla moins frais dans mon esprit en overdrive.

Du coup, ce sera de l’historique à la mode Hoyt aujourd’hui, et son dernier tome de la série des fantômes de Maiden Lane: The Duke of Pleasure (le duc du plaisir, rien que ça).

Pour ceux qui ne seraient pas familier avec la série, il y a trois choses à savoir autour de cette série:
-Il est question du « fantôme de Saint Giles », un genre de superhéros habillé en Arlequin (je me demande s’il n’existerai pas un lien entre l’Arlequin et Harlequin) (genre il m’aura fallu 6 ans pour faire le rapprochement hein). Ce fantôme est pourfendeur du crime et protecteur des plus faibles dans le quartier mal famé de Saint-Giles (à prononcer Gaiiiiles, comme Giles dans Buffy) (on a des références culturelles ou pas)

-Il est question de l’identité changeante de ce fantôme (un peu comme le Dread Pirate Roberts) (ceux qui n’ont pas compris la référence sont priés de passer au rattrapage pour l’UE princesse)

-Il est question des Lords of Chaos (surtout sur les derniers tomes). Des mégas vilains qui sont potes avec Satan et Sauron, boivent le sang des jeunes vierges dans des coupes en peau de licorne et arrache les ailes des fées.

-Il est question du mélange des mondes: l’aristocratie et les bas-fonds. Le jeux des apparences de la noblesse qui cache parfois bien des déconvenues, tandis que les diamants les plus beaux sont rares et durs à révéler (comprendre, les nantis sont parfois des sales pourris, et c’est pas parce qu’on vient de Saint Giles que l’on a pas un cœur en or)

-Enfin, il est question de sensualité. Là, je ne vous apprendre rien. C’est du Hoyt. Parfois ça marche mieux que d’autres, mais jamais au grand jamais, je ne pourrais nier que le rose me monte aux joues rien que de repenser à certaines scènes (oui, même celles des « bollocks et genitals »)

Maintenant, penchons nous plus sérieusement sur le cas du « duc du plaisir ». Il y est question de Alf et Kyle. Et oh dear… ce que j’ai aimé!

Et sachez que le manque de temps qui est toujours d’actualité dans ma vie me rend encore plus exigeante et à réduit ma patience à néant. Nos pauvres auteurs se la jouent un peu « mort subite » avec moi. Mais après un certain nombre de livres commencés et jamais finis, de grognements de frustration et une toundra désertique dans le paysage de mes lectures, Madame Hoyt a su relever le défi et m’a fait couiné avec délectation devant Alf et Kyle.

En deux mots?
Alf, c’est une habitante de Saint Giles, experte dans l’art d’obtenir, de négocier et de vendre l’information. C’est aussi le fantôme actuel (promis, je spoile pas, c’est dans le synopsis). Et alors que Kyle a échappé de peu à un piège mortel dans les bas-fonds de Londres, il est bien loin de se douter que le diable masqué qui lui est tombé dessus (révélant ainsi ses « atouts ») et Alf, le gamin qu’il a recruté pour lui récupérer des infos, sont en réalité la même personne.

Leur romance est délicieuse, douce… Ce qui est assez paradoxal quand on pense qu’ils sont en pleine chasse à la société ultra secrète (Lord of chaos, suivons, suivons!). L’équilibre a vraiment été trouvé dans la dynamique de ces deux personnages. On joue avec le cliché, mais on ne tombe pas dans la caricature.

Alf est badass à mort, donne envie d’abattre tous les murs qui se dressent devant toutes les femmes, et à la fois, elle a ce physique menu, fin, fragile. C’est un peu comme les ballerines, elles sont graciles, mais c’est du muscle pur.

Kyle est cet homme plus grand que nature, un physique de montagne, la virilité en bandoulière (un brun, les yeux profond, le torse velu… ) et pourtant, de le voir avec ses deux fils, d’être témoin de ses questionnements intérieurs, il s’en dégage une certaine fragilité…

Bref, j’ai A-Do-Ré.

Et que certaines scènes soient absolument wouaaaahhhhh, n’a rien gâché… après, je vous dis ça moi… Quoiqu’il en soit, je vous invite à vous jeter dessus violemment (sur le livre hein, Kyle est pris) et à me dire ce que vous en avez pensé!

Bonne lecture
T.

 

Il était une fois… (bis, repetita)

Deux princesses, charmantes…

Il y a un an, Chi-Chi nous annonçait que la vie étant une boite de chocolat, on ne savait pas trop bien ce qu’elle nous réservait, si bien que parfois, on était un peu obligé de sortir les pagaies. Je vous la fait simple hein, en vrai, Chi-Chi vous l’avait annoncé avec beaucoup plus de poésie, mais il est tard, et vous me pardonnerez bien quelques raccourcis.

Pourquoi je vous parle de ça? Pour une raison simple : je suis littéralement en train de crouler sous le boulot. Cela fait des semaines que je vous rabâche que je n’ai rien lu, et clairement, ce n’est pas dans la nuit que je vais lire une romance, m’extasier et la chroniquer. C’est triste, mais c’est ainsi.

Aussi est-il temps pour moi de vous annoncer que je vais devoir faire une pause… A mon corps defendant, croyez-le bien.

Et qui sait, avec un peu de chance arriverais-je parfois à venir en pointillés, si d’aventure la boite de chocolat qu’est ma vie me laisse 2 minutes pour respirer!

Love,

T.

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Poldark

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L’heure est toujours aussi grave… Je ne lis plus, enfin non, je ne lis plus « pour le plaisir ». Je lis des tas de trucs pour le boulot, je lis des tas de trucs pour sa majesté le petit prince, mais je ne lis plus pour moi. J’ai toujours été de celles qui ont des phases, plus ou moins longues, mais là, c’est simple, je n’ai toujours rien lu depuis l’écoute de « Finding Audrey » de Kinsella, et je n’avais rien lu de nouveau depuis cet été.

Sauf que bon, force est de constater que j’ai rangéles affaires d’été, que les jours raccourcissent, que les températures chutent et que je mets mon écharpe tous les matins en frissonnant… L’été est bel et bien derrière nous.

Alors voilà. Le problème étant que je suis supposée vous parler de romance, de lecture, et d’envolée de licorne arc-en-ciel à paillettes.

Sauf que non. Toujours pas. J’en suis même à envisager de mettre le blog en hiatus figurez vous… Alors cette semaine encore, je vous la joue « série », mais promis, il y a du swoon dedans.

Poldark.
Le beau, le brun, le ténébreux Ross Poldark revient de la guerre (celles d’Indépendance des Etats-Unis, donc il revient pas victorieux) et retrouve la terre de ses ancêtres en piteux état. Son près est mort en laissant un massif montagneux de dettes et sa dulcinée est sur le point de se marier avec son riche cousin.
Bref, on est loin du retour en fanfare.

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Mais Ross, il est beau, brun, ténébreux ET charismatique, travailleur, persévérant. Il a soif de justice, il veut rétablir le bien, il veut vivre de sa terre… Il veut… il veut…

Bref, il est la pour rester et ce ne sont pas une ou deux embuches qui vont l’empêcher d’accomplir sa destinée – Oui, je sais, je fais un peu Phytie en pleine déclaration d’un oracle, mais je vous promets, Aidan Turner chevauchant dans les vertes étendues de la Cornouailles, la mer venant se jeter au bas des falaises au loin, ca fait naitre en moi une certaine forme de lyrisme. Tout comme ce passage où notre protagoniste fauche de l’herbe, chemise free… swwwooonnn!!!!

Qu’on se rassure, cette série propose aussi une très bonne histoire (je suis pas une princesse facile non plus), c’est un héros un peu inattendu notre ami Ross, avec un sens moral impeccable qui en fait un type bien sous des dehors un peu « rugueux » (surtout pour le canons de l’époque, où on vous la donne plus dans la réputation que dans la réelle hauteur d’un homme) et je trépigne à l’idée de mettre la main sur la saison 2.

Bonne…. dégustation!

T.

 

Aidan Turner, BBC, Cornouailles, , Poldark, Séries TV 3 Commentaires

The Goal (Off-campus 4)

Pssst, vous savez quoi ?

J’ai lu The Goal, le nouveau (dernier) Elle Kennedy.

Déjà, en passant, c’est juste moi ou vous aussi vous confondez tout le temps cette série avec celle de Sarina Bowen ?

Du New Adult, des joueurs de hockey, une université en Nouvelle-Angleterre, et des auteurs qui ont travaillé ensembles et ont fait un cross-over entre leurs séries (je crois).

Bref, j’aime cette série, c’est un bon doudou pour moi, c’est choupi, c’est sexy, souvent assez drôle, moderne et avec des personnages pas crédibles du tout mais qui sont souvent intelligents du genre, bons à mettre en évidence les notions de consentement, de sexe protégé, tout ça, ce sont des bons points dans mes romances à moi.

J’ai donc lu The Goal d’Elle Kennedy, tome 4 de la série Off-campus.

Je vous le dit tout net, grosse déception.

On connaît Tucker depuis le tome 1, c’est le coloc de Garrett, c’est un saint avec ses amis, il est patient, il est bien élevé, il sait faire la cuisine, il est sérieux, il joue au hockey mais n’est pas obsédé par le sport parce qu’il ne veut pas particulièrement en faire une carrière, bref, c’est le gendre idéal.

Et Tucker un jour aperçoit Sabrina au coin d’un bar.

Sabrina, c’est un peu la bitch de service, en tout cas c’est ce que l’on a vu d’elle dans le tome précédent, celui de Dean. Parce que Dean et Sabrina ont couché ensemble un soir alcoolisé, et parce que Sabrina considère Dean comme un type arrogant et trop gâté par la vie pour lequel elle n’a aucun respect, et qu’en général, elle n’a pas une très haute opinion des hommes, en dehors de leurs qualités au lit.

Tucker aperçoit donc Sabrina, et il a aime bien ce qu’il voit. Et vice versa.

Cela se termine dans la voiture de Tuck, sur le parking du bar.

Comme Sabrina a une règle de « jamais deux fois avec le même gars », les choses devraient en rester là.

Sauf que, vous vous en doutez bien, Tuck est intéressé. Il veut la revoir, dans un vrai lit cette fois, et plus si affinités…

Et comme notre héroïne n’est pas trop trop partante, eh bien cela va prendre du temps.

Jusque là, de mon coté tout va bien.

C’est chou, c’est sexy, c’est intéressant, je vois bien les obstacles qu’il va falloir surmonter.

Et puis malheureusement, à force d’être parfait, eh bien Tuck devient un peu transparent.

Entre eux, c’est un mauvais cha-cha-cha : un pas en avant, quatre pas en arrière.

Il est parfait cet homme, compréhensif. Il est très perceptif aussi. Il comprend vite les problèmes de sa dulcinée. Il refuse de lui mettre la pression. Il ne fait jamais la gueule parce qu’elle a (encore) bloqué son numéro de téléphone, ne pipe mot quand elle reste 3 semaines sans lui donner signe de vie. Pas un reproche, pas un commentaire. Pas un seul « moi aussi j’ai des sentiments et ça serait gentil de ne pas toujours t’essuyer les pieds dessus ».

A la décharge de Sabrina, elle est bien consciente de ce qu’elle fait vivre à Tuck, et se débat avec ses problèmes pour arranger les choses. Mais elle n’est pas franchement des plus logiques en la matière, et c’est fatiguant. Et je ne spoile rien en disant ça, comme par hasaaaaard, elle tombe enceinte par accident du premier coup alors qu’elle prend la pilule (par contre on ne parlera jamais du risque de MST, pas sexy). Évidemment il fallait que ça arrive à la fille qui a le moins de chance sur terre. Ça a un vieux relent de morale bien-pensante tout cela. Je ne pense pas que c’était le but mais je l’ai ressenti comme cela…

Et une fois madame enceinte, l’histoire se traîne, parce qu’ils ne se parlent pas, parce que Tuck encaisse tout sans broncher, parce que Sabrina s’enferme dans ses problèmes. Parce qu’en théorie, il se passe beaucoup de choses dans ce livre. Des rebondissements dans tous les sens, des surprises, des personnages secondaires que l’on aime, forcément, on les connaît pour la plupart et ceux que l’on ne connaît pas sont chouettes.

Mais non, rien à faire.

Je suis déçue, je me suis ennuyée (parfois un peu agacée aussi).

C’est un livre qui a mérité deux petites étoiles sur Goodreads parce que je l’ai lu sans déplaisir, sans avoir envie de me taper la tête contre un mur. Mais c’est un livre que je ne vous conseille pas, sauf si vous êtes des fans hardcore de la série et que vous voulez absolument revoir vos personnages préférés…

Love,

Chi-Chi

Meilleurs ennemis (The Hating Game)

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J’ai vraiment vraiment lutté pour démarrer ce livre…

Pour tout vous dire, il est sur ma liseuse depuis le début du mois d’aout. Une copine l’avait lu avant sa sortie, et je l’avais précommandé, tellement elle était enthousiaste.

Et puis les vacances sont arrivées, et j’ai commencé les premières pages.

Fail.

J’ai changé d’idée et décidé de relire le tome 1 de Harry Potter.

Et puis une autre copine me l’a conseillé. Je lui ai dit merci bien poliment, je l’avais déjà, j’étais sur l’affaire, tout allait bien. J’ai donc repris ma lecture du début parce que je n’avais rien imprimé de ma première tentative.

15 pages plus tard, re-fail.

J’ai donc lu une romance nulle. (Je vous en parlerai un autre jour)

Et puis deux, et puis trois. J’étais dans une mauvaise passe, j’étais fatiguée et tous les clichés de toutes les romances de la terre m’agaçaient.

Et puis Lady V. qui a plutôt la dent dure, n’est pas spécialement une fan de romance et est pourvue d’un talent rare pour démonter en 5 secondes les livres qu’elle a trouvé nuls/clichés/trop faciles/pas logiques (ne rayer aucune mention), m’a dit qu’elle avait aimé ce livre.

Cette fois c’en était trop, il fallait que je comprenne pourquoi tout le monde chantait les louanges de The Hating Game, alors que je n’arrivais pas à dépasser les 20 premières pages !

Installée sur mon canapé, j’ai repris le livre, fait mon deuil du début que je refusais de relire, et repris là où je m’étais arrêtée. J’ai passé les 20 premières pages maudites. Puis 30, puis 50. Et puis rien, cela ne venait toujours pas. C’était lent, assez descriptif, pas très enthousiasmant.

Lucy et Josh travaillent ensemble et ne peuvent pas se voir en peinture. Alors ils passent leur temps à jouer à des jeux de gamins, le jeu du silence, le jeu de celui qui détournera son regard en premier, le jeu du miroir…

On ne sait pas comment cela a commencé, on ne sait pas pourquoi ils jouent, on ne sait pas vraiment à quoi cela sert ni où l’auteur veut nous emmener.

J’ai lancé un appel sur FB (oui, vous saurez vraiment tout des étapes de ma relation avec ce livre, à la minute près). J’en étais presque à 25% et je m’ennuyais. D’habitude, je renonce, refusant de perdre mon temps avec un livre qui m’ennuie, mais c’était dimanche, c’était le lendemain de mon anniversaire et j’aurais donné n’importe quoi pour ne pas faire le ménage post-soirée…

Et puis à un moment, justement au quart du livre, j’ai tourné LA page.

Et là, tout a changé.

Je ne peux pas vous dire quoi, ni quand ni comment, mais j’étais d’un coup totalement accrochée. On avait allumé la lumière, tout s’est éclairé d’un jour différent, et je voulais savoir la suite.

Qu’allait-il se passer ? Lucy et Josh se retrouvent en compétition pour une promotion, et le fait de changer le prix change les règles. Alors, d’un coup, je voulais savoir. Allaient-ils se comprendre ? Quel serait leur prochain jeu ? Et puis, à chaque nouveau rebondissement, un petit frisson d’excitation, parce que OMG c’est mené tambour battant, et c’est drôle, et tout à coup, cela devient hyper sweet, et on se met à les aimer, nos personnages, et à vouloir qu’il leur arrive plein de bonnes choses, et c’est tout à fait à la hauteur, et zut, la journée est déjà passée et oh mon dieu quelle horreur mais c’est déjà la fin et la dernière page et le livre est fini, je vais pleurer, ou sautiller partout parce que cela donne envie d’être à la place de Lucy, ou plutôt tiens si j’allais relire quelques passages parce que c’était trop bien !!!

Alors voilà, je crois que tout est dit, je vais en rester là pour The Hating Game de Sally Thorne, Meilleurs ennemis en VF, sorti le 5 octobre chez nos amis Harlequin.

Que dire de plus à part peut-être, lisez-le et ne ne vous laissez pas décourager par un début un peu lent, cela en vaut totalement la peine !

Bonne lecture,

Chi-Chi

Ça a commencé comme ça

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Dear Angéla Morelli,

 

C’est toute tremblante d’émotion (et un peu aussi de manque de sommeil) que je prends la plume (et le bout de mon clavier) pour vous écrire.

J’ai terminé « Ca a commencé comme ça » à précisément 1h27 la nuit dernière.

Et pour être plus précise encore, je m’étais couchée à 22h53, pleine de bonnes intentions, me disant « Allez, juste quelques pages, et vite au dodo, la semaine est déjà assez rude comme cela ».

L’un des problèmes majeurs de votre livre, c’est que vous nous dites que « Ça a commencé ». Et moi, en bonne lectrice frustrée, j’aurais apprécié que vous continuiez à me dire comment cela avait continué pendant 250 ou 3470 pages de plus. A peu près. Un truc qui commence comme ça, on aimerait ne pas le voir se terminer en fait…

Mais puisqu’il faut bien que dans la vie, tout ait une fin (et je constate que la fin des vacances arrive toujours bien plus vite que celle d’une journée de travail), cette lettre aussi va se terminer.

Et pour finir en beauté, je glisserai les quelques raisons (mais pas trop) qui font que je vais mettre ce livre entre les mains innocentes de quelques personnes, dans les semaines/mois à venir.

Tout d’abord parce que vous avez très bon gout en musique. Tout auteur qui peut me citer mes chansons préférées de Michel Sardou et dans la foulée me faire découvrir une chanson inconnue de Michel Delpech mérite mon admiration/ma reconnaissance éternelle.

Ensuite, parce que j’ai appris à faire des confitures avec Flore. J’admets ne pas avoir encore tenté la mise en pratique, mais c’est uniquement parce que je n’ai pas de marmite en cuivre à disposition. Oui, on dit une bassine en vrai, mais c’est tout comme. Et puis admettez que Flore a un délicieux petit côté sorcière, entre ses cheveux roux (oui oui c’est une vraie rousse, c’est ça, merci monsieur), sa bicoque qui tombe en ruine, son chien à trois pattes, ses chats, ses alambics, ses marmites, ses plantes médicinales, et bien sûr, ses croissants. Et oui, dans mon univers, les croissants relèvent de la pure magie. Peu importe qu’ils se mangent (je précise que j’ai faim) ou qu’ils soient accrochés dans le ciel.

Par contre, je n’aime pas le beau blond ténébreux. Mais alors pas du tout. J’ai un problème de prénom. Quand on s’appelle Corto on est un beau brun ténébreux madame. C’est quoi cette incohérence scénaristique ?

Bon, comme il est tatoué, je veux bien vous pardonner cette erreur. Mais sachez que cela me coute. J’ai été obligée de prendre une photo de David Beckham en fond d’écran pour me mettre dans l’ambiance. Un vrai calvaire. Les sacrifices que les lecteurs font pour essayer de comprendre les auteurs parfois, vous n’avez pas idée… En plus il m’a donné chaud, j’ai tourné de l’œil dans le métro. C’est à peine plus glamour qu’un bouquet de ronces. Et ça manquait de preux chevalier pour me ramasser. Et de mûres.

Chère Angéla Morelli, vous croyez que la pathologie dont souffre Flore pourrait être contagieuse à travers le grain du papier ? Elle aussi, elle a souvent chaud en présence de Corto…

Dans l’attente de votre réponse,

Kiss kiss,

Chi-Chi

 

Chers lecteurs, maintenant que vous avez pu apprécier ma prose un peu idiote, et être témoin de ces drôles de lettres que je m’amuse parfois à envoyer aux auteurs que j’aime, je vais vous glisser quelques mots de plus sur ce livre :

L’héroïne se met en scène dans sa propre vie, c’est doucement dingue, c’est tendre aussi. Il y est question du sud de la France en été, de soleil et de shorts, de confitures bien sur, mais aussi plus généralement de nourriture. C’est une histoire terrienne. Attachée à la terre. Ancrée dans les lieux qu’elle habite, dans son quotidien, ses habitudes, ses produits et ses excentricités, dans tout ce qui fait que l’on est chez soi quelque part. C’est une histoire pétrie de souvenir aussi, de retour sur ce qui a fait Flore et l’a construite.

Je dirais que c’est une romance « light », dans le sens où c’est plus l’histoire de Flore que celle de Flore et Corto. Je voudrais pouvoir parler aussi de Flore et sa mère, mais les mots ne viennent pas pour aborder ce sujet délicat. Alors je vous laisse sur un autre mot : c’est une jolie histoire, avec quelques moments de franche émotion, et des éclairs d’humour. C’est un roman…

Allez, je lance le mot, je sais qu’il est attendu par quelques experts.

C’est un roman feel-good ! 🙂

(et ça sort demain!)

Bonne lecture,

Chi-Chi

Modern Family

Modern Family - Series 06

Modern Family – © 2013 Fox

Je suis en plein écoute d’un Jennifer Weiner. Toutefois c’est 1) un roman féminin, donc j’ai encore quelques scrupules à en parler ici et 2) je ne l’ai de toute façon pas encore fini… Donc aucune torture d’esprit à prévoir sur ce coup là. Cette semaine, ce sera sans bouquin.

Mais n’ayez crainte, j’ai quand même un truc dont je veux vous parler, et qui est quand même vachement pratique à mettre en arrière fond quand on prépare la soupe, qu’on plie le linge ou qu’est sur la route (ma vie est glamour, deal with it).

Modern Family.

On y assiste au quotidien d’une famille recomposée et « modern ». A son somment Al Bundy … Jay Pritchett, qui s’est remarié à la fabuleuse (et beaucoup plus jeune) Gloria. Cette dernière avait eu un garçon d’un premier mariage, Manny, et ensemble Jay et Gloria auront un autre fils.

De son côté, Jay a deux enfant de sa première union: Claire, mariée à Phil et mère de Haley, Alex et Luke; et Mitchell, marié à Cam et père de Lily.

Donc en un sens, Joe, dernier né de Jay est l’oncle de première née de son ainée Claire, tandis que Manny et Luke, qui sont du même âge, pourraient être considéré comme neveu et oncle.

Et moi, toutes ces interactions pleines de drama, pleine de bon sentiments, de mensonges, de situations rocambolesques, bah j’adore!

J’aime que les créateurs ait forcé les traits juste ce qu’il faut pour que cela fonctionne, mais que les personnage n’en deviennent pas des caricatures. C’est un équilibre assez précaire qui fonctionne mieux à mesure que les saisons passent. La première saison reste ainsi plus caricaturale que les autres. Force est de constater qu’il fallait mettre en place les backstories pour que le reste se construise dessus.

Petit bémol, parce qu’il en faut toujours un. Avec beaucoup de séries qui s’articulent autour d’une famille, J’ai cette même sensation qui revient: Pourquoi y a-t-il si peut de vie amicale et d’interaction autres que celle de la famille?

Mais bref, cela fait 3 semaines que je rattrape mon retard, et j’aime beaucoup!

Et vous?

T.

 

 

 

 

 

Les immortels de la nuit

Réédition du 19/03/2012

Au programme d’aujourd’hui, pas un mais cinq livres chroniqués! C’est le retour des marathons lecture avec une envie, ces derniers jours, chez moi, de canines, de loups et autres créatures fantastiques.

Vous le savez, sans être des fans absolues de Bit-Lit, nous nous laissons parfois tenter, Chi-Chi et moi-même, par le monde obscur et mystérieux des chasseurs de la nuit.

La série de Kresley Cole, Immortals after Dark, compte à ce jour pas loin de douze ouvrages. Il fut un temps pas si lointain où j’aurais trouvé le temps de tous les lire à temps pour ma chronique, or, j’ai fini le cinquième cet après-midi, et j’ai du renoncer au rêve de tout lire ce weekend. Mais ce n’est que partie remise, car sitôt cet article rédigé, je me plonge dans le suivant…

Comme vous êtes toutes dotées d’un sens de la déduction plus que développé, vous aurez conclu du paragraphe précédent que j’aime beaucoup la série. Mais pourquoi ? Et qu’a-t-elle de plus que toutes ces histoires de vampires à la sexualité débridée ? Qu’est ce qui a fait que dans cette série a su sortir du lot ?

Je me suis plongée dès le tome un sur cette question. Et j’ai étudié les suspects habituels :

  • Le style : je mentirais sans doute un peu en vous disant que Kresley Cole est la prochaine Jane Austen. Son style se lit facilement, en VO tout du moins, je ne saurais m’avancer quand à la qualité de la traduction. L’auteur mène son histoire de manière efficace, établit même un petit glossaire à notre intention, ce qui est bien pratique dans une lecture fantastique parfois, mais rien de bien transcendant ici. Pas de hurlement de rire, qui font que j’aime d’amour Julia Quinn ; pas de moments Nutella Kristan Higgins qui me font pousser des petits soupirs de satisfaction ; et pas non plus de gorge qui se serre comme à la lecture de Courtney Milan.

 

  • Le suspense : oui, on se rapproche. Lire du fantastique, si l’auteur sait s’y prendre, c’est se donner l’occasion d’être surprise. Sherrilyn Kenyon avait le don de me surprendre à chaque chapitre lors de la lecture de ses premiers tomes, et puis c’est devenu plus dur à mesure que je me suis acclimatée au style de l’auteur.

 

  • Les personnages : on brûle! Kresley Cole a mis en place tout un système de Panthéon. La série va bien au-delà du vampire de base et du loup garou syndical. Ici, on rencontre des « Valkyries ». Et si, comme moi, vous vous attendiez à de plantureuses créatures blondes qui arrivent sur scène dans des chevauchées épiques de type wagnériennes, attendez-vous à quelques surprises. Pas de macarons blonds sur chaque oreille, point d’accent « chermanique », point de gorge palpitante, mais des êtres à l’allure de petits lutins matinées d’elfes, qui, sous cette apparence fragile et délicate, sont des guerrières sans pitié. J’aime bien les contrastes. J’ai adoré celui-là !

 

  • Le pitch des histoires d’amour : bingo ! Ici, l’amour c’est un peu le mariage arrangé par excellence. Vous vous souvenez de la théorie de Chi-Chi : un mariage arrangé, c’est comme un road trip, on ne découvre les personnes qu’une fois la route prise et il faut bien se débrouiller avec ses compagnons de voyage pour arriver à destination. Ici, c’est exactement cela. Sauf que nos héros ne sont pas mariés de force, c’est encore plus vicieux. Il sont destinés l’un à l’autre par des forces contre lesquels ils ne peuvent rien. Et laissez moi vous dire que c’est n’est pas le pays des petits poneys quand ils se découvrent une destinée commune. Ils auraient plutôt tendance à dire « plutôt mourir » que « youpi, sautons dans un lit et faisons plein de petits bruits! ». L’auteur prend un malin plaisir à mélanger des êtres fantastiques avec une antipathie séculaire l’un pour l’autre. C’est formidable, les Capulet vs. Montaigus, sans l’histoire pourrie d’ados qui veulent mourir au milieu!
    Je m’emballe, passons à quelques synopsis, histoire de vous mettre en canine…

 

warlordThe warlord wants forever, pas traduit à ce jour, ouvre la série des immortels avec une valkyrie et un vampire. Les deux races ennemies… Nicolai Wroth fait pourtant partie d’une race de vampire particulière qui a renoncé à boire du sang à partir de la source, cette pratique étant à l’origine de la folie meurtrière et de la cruauté légendaire de la race par la suite.

Mais ce petit détail, Myst the Coveted (la Convoitée) n’en a pas grand chose à faire. Pas question qu’elle soit la Bride (épouse prédestinée par le destin et qui permet au vampire de récupérer l’usage de son système sanguin, et donc de certaines fonctions masculines) d’un vampire, reformé ou pas ! Qui dit Bride, dit excitation permanente pour le vampire. Il passera cinq ans à lui courir après. Pour enfin la retrouver à la nouvelle Orléans avec un sérieux compte à régler.

morsureA hunger like no other (Morsure secrète en VF) raconte l’histoire de Lachlain MacRieve, roi loup-garou emprisonné pendant des siècles par les vampires et condamné à la torture constante (les vampires étant on le sait, un race pleine d’amour et de gentillesse dans leur cœur), et Emmaline Troy, hybride à moitié Valkyrie, à moitié Vampire (oui, il y a des mélanges étrange qui se font chez les immortels).

Notre histoire s’ouvre à Paris, où dans les profondeurs des souterrains, le roi lycan souffre, quand tout à coup il sent l’odeur de sa « mate » (épouse prédestinée chez les loup-garous qui fait naitre chez eux un sentiment de possessivité et de besoin de protection au-delà de tout entendement). Ses forces décuplées par le choc, il brise ses chaînes et fuit (bien pour lui) et par à la recherche de celle qui l’a libéré : Emmaline (moins bien pour elle). Devenir la compagne über-protégée d’un puissant mâle, ce n’était pas dans son programme. Pas plus que de voir la moitié de son héritage trainé dans la boue… Scènes cocasses et autres mises au point machistes au programme. Un délice.

walkyrieNo rest for the wicked (Valkyrie sans cœur en VF) nous refait le coup du duo valkirye/vampire. Sebastian Worth (frère de…) et Kaderin the Cold-hearted (Sans-cœur) se rencontrent brièvement au début du roman, juste assez pour que la guerrière agite le sang du vampire, ce qui m’a fait craindre un bis du premier tome.

Mais c’était sans compter sur le passif des deux héros qui finissent par nous emmener dans une épopée digne d’Indiana Jones appelée « the Hie » et qui a très modestement lieu tous les 250 ans. C’est une sorte de Survivor/Koh Lanta pour les êtres surnaturels en manque de sensations fortes. Kaderin y participe depuis des siècles, et compte bien remporter encore une fois la récompense. Mais c’est sans compter sur les autres compétiteurs et Sebastian qui se mettent dans ses jambes (en tout bien tout honneur bien entendu).

charmesWicked deeds on a winter’s night (Charmes en VF) se passe lui aussi pendant la « chasse au trésor ». Mais cette fois-ci, nous découvrons la course du point de vue de Bowen MacRieve (cousin de…) et Mariketa the Awaited (l’Attendue), sorcière de son état.

Si je vous dit que dans son passé, Bowen a déjà eu à faire à des sorcières et que ça s’est très mal passé, vous me croyez ? N’ayez crainte, l’histoire est un peu plus complexe que cela. Au-delà du fait qu’il est question d’une « mate » perdue et de réincarnation, se lève aussi le voile sur une prophétie qui lie Bowen et Mariketa, au grand désespoir des deux intéressés.
amedamneeDark needs a dark edge (Ame damnée en VF) est à ce jour celui que j’ai le moins aimé. Il y est question de Conrad Worth (l’auteur aime les histoires de famille), vampire tombé du coté obscure de la force (comprendre, il boit le sang à la source) et que ses frères essayent de sauver à son corps défendant en l’enchaînant à un lit dans une maison désertée.

Ce qu’ils ne savent pas c’est que dans la maison vit Néomi Laress, ancienne ballerine et fantôme de son état, morte il y 80 ans de cela. La culture urbaine voudrait que les fantômes puissent être visible par nous autres mortels, sauf qu’en fait, ici, pas du tout. Néomi vient de passer 80 ans à observer sans jamais être vue ni entendue. Quelle n’est pas sa surprise quand Conrad semble très clairement la percevoir…

J’aime et je conseille quatre sur cinq, c’est un bon début. Je m’en vais de ce pas commencer le sixième.

En attendant la suite, bonne lecture,
Tam-Tam

PS : l’ordre n’est pas capital à la compréhension, juste pour info. J’en veux pour preuve que la traduction n’a pas cru bon de passer par le premier tome…

Edit du 30/05: j’ai tenté de poursuivre…mais finalement, les premiers tomes sont les meilleurs. Il y a la surprise, la mise en place du monde. Les tomes suivants s’essoufflent très rapidement, et ils ont même fini par me lasser!